Je renvoie directement à un article de "CPE et Vie Scolaire" autour du jeu du foulard:
Les jeux dangereux (jeux de non-oxygénation ou jeux d’agression) questionnent les adultes depuis déjà des années, sans qu’on puisse dégager une vraie politique de prévention, qui informerait sans inciter (c’est la grande appréhension). Car les jeux dangereux fonctionneraient pour les jeunes comme une drogue: « Ils apprécieraient les effets pseudo-hallucinatoires que l’expérience pourrait leur provoquer —pendant que leurs neurones meurent— et ignorent ou sous-estiment les risques auxquels ils se soumettent. » explique Rue89.J'ajouterai à son catalogue de ressources les liens vers 2 associations de parents d'enfants morts de ces jeux: APEAS (plus centré sur les jeux de non-oxygénation) et SOS-Benjamin (qui parle aussi des jeux d'agression).
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Et d'après ce qu'on me dit, ce n'est pas un risque lointain, réservé à des adolescents citadins...
